Je restais à l’intérieur pendant qu’ils détruisaient pièce par pièce la maison de mon enfance…

Cette installation composée d’objets du quotidien plutôt féminins (vêtements, bijoux, décoration, cire…) et de texte témoigne de la complexité du rapport que l’on entretient avec son corps, ses mutations, son embellissement jusqu’à parfois sa destruction.

Le corps est synonyme de maison. Qu’il faut habiter mais parfois aussi quitter.

Mon corps, mon intérieur … Habiter … Ce refuge

L’œuvre a été conçue dans le cadre de l’appel à artistes pour l’exposition 20 bisart, une maison d’architecte clichoise vendue pour démolition.

Cette installation témoigne de la fragilité d’une vie avec ses interrogations, ses doutes, ses peurs…